Visite de Gilles Pudlowski chez Gourmet & Glouton : le bistrot-restaurant de Chaudes-Aigues entre terroir et tatouage

La visite de Gilles Pudlowski chez Gourmet & Glouton

Récemment, le célèbre critique gastronomique Gilles Pudlowski a poussé la porte de Gourmet & Glouton, notre restaurant à Chaudes-Aigues, et salué la belle alliance entre l’esprit populaire du bistrot et l’univers du tatouage. Deux mondes nés de la rue, deux gestes précis et sincères, réunis dans un même lieu : un bistrot-restaurant canaille au cœur du village thermal de Chaudes-Aigues, dans le Cantal.

Le bistrot, ce cœur battant de nos villages

Dire « bistrot », c’est presque dire « maison ». On imagine les nappes à carreaux, les verres qui s’entrechoquent, les conversations qui refont le monde. L’histoire du bistrot se confond avec celle de la France populaire — et plus encore avec celle des Bougnats, ces Auvergnats montés à Paris pour tenir cafés et charbonneries. Chez Gourmet & Glouton, ce lien entre Paris et l’Auvergne se ressent à chaque recoin du décor : comptoir en bois massif, affiches anciennes, réverbère venu de la place de la Bastille… et un accueil franc, sans chichis, comme on les aime dans le Cantal. Le restaurant de Chaudes-Aigues reprend à sa façon ce modèle : un lieu où l’on partage, où l’on se retrouve, où la chaleur humaine rivalise avec celle des sources du Par. Car ici, comme dans tout bon bistrot, la vie s’installe entre deux couverts et quelques éclats de rire.

Une carte de restaurant authentique et généreuse

Gourmet & Glouton ne joue pas les stars, il cuisine pour émouvoir. Dans ce restaurant de Chaudes-Aigues, la carte rend hommage aux plats familiaux : œufs mayo, bœuf bourguignon, blanquettetartine de lard paysan, ou encore le fameux coufidou, ce bourguignon auvergnat que Gilles Pudlowski a particulièrement remarqué. Les vins, soigneusement choisis, accompagnent chaque plat sans ostentation, dans le respect du produit et du terroir. Mais la gourmandise ne s’arrête pas au salé. Le salon de thé de Gourmet & Glouton régale les becs sucrés avec des desserts maison qui évoquent les souvenirs d’enfance : flan pâtissiertarte aux myrtillescarrot caketarte aux pommesmoelleux à la châtaigne… Le tout fait maison, évidemment, comme le souligne le critique.

Ce qu’en dit Gilles Pudlowski

 « Stéphane Chaudesaigues, natif de Versailles et tatoueur célèbre, a laissé tomber Paris et ses paillettes pour revenir aux sources de ses origines dans la cité thermale dont il porte le nom. Avec son épouse Cécile qui l’assiste aux fourneaux, il a créé un bistrot canaille sur deux étages qui rend hommage aux Auvergnats de Paris. Le décor évoque le Paname des abords de la rue de Lappe avec son réverbère venu de la place de la Bastille. » « La cuisine est bistrotière avec malice proposant aussi bien les œufs mayo que le coufidou – sorte de bourguignon auvergnat –, les planches canailles que la Caesar salad, la tartine de lard paysan aux épices que les spaghetti carbonara, l’entrecôte d’Aubrac, sans omettre un registre de pâtisseries de bon ton. » « Car la maison, qui excelle dans les douceurs, fait aussi salon de thé. Et l’on vient ici se régaler de flan pâtissier, tarte aux myrtilles, carrot cake, tarte aux pommes dignes de grand-mère. On peut venir ici boire un verre entre amis, assister à un concert ou réserver une salle au premier pour un banquet. Et pour les amateurs, l’atelier de tatouage de Stéphane, qui n’oublie pas sa première vocation, s’ouvre sur rendez-vous. » — Gilles Pudlowski, critique gastronomique

Chaudes-Aigues : quand le restaurant devient lieu de vie

À Chaudes-Aigues, village d’eau et de feu, le restaurant Gourmet & Glouton est devenu un point de ralliement. On y vient pour un déjeuner simple, un dîner entre amis, ou un concert improvisé. La salle du premier étage s’ouvre sur des repas de groupe, banquets ou réunions associatives. Et juste à côté, l’atelier de tatouage de Stéphane Chaudesaiguesrappelle que le geste du cuisinier et celui du tatoueur partagent la même exigence : la précision, le respect et la passion du détail. Cette double identité, entre cuisine et tatouage, intrigue et séduit. Elle fait de Gourmet & Glouton un restaurant pas comme les autres dans le Cantal, un lieu où se croisent les traditions et les imaginaires.

Un retour aux sources salué par la critique

Une reconnaissance précieuse, venue d’un critique exigeant, qui confirme la singularité du lieu. Gourmet & Glouton, c’est un restaurant à Chaudes-Aigues où l’on retrouve le goût des choses simples, la chaleur des bistrots d’antan et le souffle d’un artisan revenu à ses racines.

Entre tradition et audace

En somme, la visite de Gilles Pudlowski a mis en lumière ce que beaucoup ressentent déjà : à Chaudes-AiguesGourmet & Glouton est plus qu’un restaurant, c’est une maison vivante où le terroir et la création se répondent. Là où l’encre du tatoueur et la sauce du cuisinier racontent la même histoire : celle d’un geste vrai, d’un retour à la source et d’un amour profond pour le pays.


Gourmet & Glouton – Restaurant, bistrot et salon de thé
8 rue Notre-Dame d’Août, 15110 Chaudes-Aigues
www.gourmet-glouton.fr

Visite de Gilles Pudlowski chez Gourmet & Glouton : le bistrot-restaurant de Chaudes-Aigues entre terroir et tatouage

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Le Roi Bœuf : un vin né du plateau

Dans le Sud-Ouest de la France, à la frontière de l’Aveyron et du Cantal, une alliance rare unit la vigne et le troupeau. De cette rencontre entre le cépage Mansois, le sol rouge de Marcillac et la race bovine Aubrac, est né un vin au nom évocateur : le Roi Bœuf. Chez Gourmet & Glouton, ce vin s’impose comme un choix naturel. Sa puissance, sa droiture et son accent du terroir résonnent avec notre cuisine du Cantal : bourguignon maisoncoufidou d’Aubrac à la joue de bœuf, ou encore côte grillée et jarret confit. Un vin né pour rencontrer la viande.

Une création engagée

Le Roi Bœuf n’est pas une cuvée de salon. C’est un vin de conviction, imaginé par Lionel Osmin & Cie avec la coopérative vinicole de Valady, au cœur de l’appellation Marcillac. Leur ambition : soutenir concrètement la race Aubrac, emblème du plateau, en reversant une partie des ventes à la filière d’éleveurs. Chaque bouteille vendue devient un geste de fidélité à la terre. Derrière le bouchon, on retrouve l’esprit des foires rurales, des marchés de Laguiole ou de Chaudes-Aigues, où les hommes se serrent la main avant de partager un verre.

Le cépage Mansois, la force tranquille du vallon

Le Mansois, ou Fer Servadou, est un cépage ancien, enraciné dans les vallons aveyronnais. Il se distingue par sa robe rubis profond, son nez poivré et son équilibre entre vigueur et finesse. En bouche, il déploie une matière ample, ponctuée de notes de cerise noire, de cassis, de réglisse et de poivre. Les tanins, bien présents, s’adoucissent avec le temps pour laisser place à une belle longueur minérale. C’est un vin franc, solide, sans excès – comme la race Aubrac qu’il honore.

L’accord naturel avec le bourguignon et le coufidou

Il existe des mariages de raison et des mariages d’évidence. Le Roi Bœuf et le bourguignon appartiennent à la seconde catégorie. Dans notre restaurant, nous cuisinons le bourguignon comme un souvenir d’enfance : lentement, dans une cocotte en fonte, jusqu’à ce que la viande se détache à la cuillère. Ce plat réclame un vin de caractère, capable de soutenir la richesse de la sauce sans l’écraser. Le Roi Bœuf, avec sa densité et sa fraîcheur, remplit ce rôle à merveille.
Et que dire du coufidou d’Aubrac, ce cousin aveyronnais du bourguignon, mijoté à la joue de bœuf ? Là encore, le Roi Bœuf trouve sa place. Ses tanins fins s’accordent à la texture fondante de la joue, ses arômes d’épices réchauffent la sauce, et sa finale légèrement fumée rappelle les saveurs du feu de bois. Ensemble, ils racontent la même histoire : celle du temps qu’on prend pour bien faire les choses.

Un vin pour toutes nos viandes Aubrac

Au-delà des plats mijotés, le Roi Bœuf accompagne toutes nos viandes de race Aubrac, sélectionnées avec soin auprès de fournisseurs de confiance comme la Maison Conquet ou la SARL Méchin, références pour les restaurateurs du Cantal et d’ailleurs.
Sur une entrecôte grillée, il met en valeur le grain de la chair et sa tendreté naturelle. Sur un jarret confit ou une bavette poêlée, il souligne la gourmandise sans jamais dominer. C’est un vin de table au sens noble : celui qui s’invite au milieu du repas, sans posture, simplement parce qu’il est à sa place.

Entre puissance et humilité

Dans le verre, le Roi Bœuf ne cherche pas à impressionner. Il évoque plutôt la terre rouge de Marcillac, les plateaux balayés par le vent, la patience des vignerons et le travail des éleveurs. Il incarne une France vivante, celle qui sait encore d’où elle vient. C’est sans doute pour cela qu’il s’accorde si bien à notre cuisine : il parle le même langage.
Chez Gourmet & Glouton, nous aimons ces vins sincères, sans artifice, qui racontent un lieu mieux que n’importe quel discours. Le Roi Bœuf n’a pas besoin de superlatifs : il a la droiture d’un homme de métier et la chaleur d’un feu de cuisine.

Servir le terroir dans le verre

Pour en apprécier toute la profondeur, on le sert à 16 °C, légèrement aéré. Après quelques minutes, les arômes s’ouvrent : fruits noirs, cuir, touche d’herbes sèches. La bouche est dense, le toucher velouté. Il accompagne aussi bien un aligot fermier qu’un pavé de bœuf à la plancha.
Dans notre salle, on le reconnaît vite : sa couleur sombre attire l’œil, son parfum emplit l’air avant même d’avoir porté le verre à ses lèvres. Et quand il rencontre la viande, tout s’équilibre : le gras, le jus, le vin.

Le Roi Bœuf, un symbole de fidélité

Plus qu’un vin, le Roi Bœuf incarne la fidélité à un territoire. À chaque gorgée, il évoque le courage des éleveurs d’Aubrac, la ténacité des vignerons de Valady et la passion de ceux qui cuisinent encore comme avant. Chez Gourmet & Glouton, cette cohérence est essentielle : de la cave à la marmite, tout s’accorde autour d’une même idée – honorer la terre.
Dans un monde pressé, ce vin nous rappelle que la qualité se cultive dans la durée. Comme un bourguignon qui mijote ou un coufidou qui se confit, le Roi Bœuf demande du temps, et le rend au centuple.

En conclusion : un vin qui a du cœur

Associer le Roi Bœuf à nos plats, c’est prolonger un geste de respect. C’est servir une viande élevée sur les plateaux de l’Aubrac avec un vin né sur ses pentes. C’est célébrer la solidarité entre deux savoir-faire : celui du vigneron et celui du cuisinier.
À Chaudes-Aigues, là où l’eau jaillit brûlante, le Roi Bœuf rappelle que la chaleur peut aussi venir du vin et du cœur des hommes.

Gourmet & Glouton – restaurant et salon de thé
8 rue Notre-Dame d’Août, 15110 Chaudes-Aigues
Site officiel : www.gourmet-glouton.fr

Le piment d’Espelette AOP, ce feu tranquille qui parfume nos assiettes

Dans les cuisines de Gourmet & Glouton, il ne s’agit jamais d’épater, mais d’émouvoir. Et parfois, une simple épice y parvient mieux qu’un long discours. C’est le cas du piment d’Espelette AOP, ce joyau basque au rouge profond, que l’on traite ici avec la même attention que nos viandes d’Aubrac ou nos légumes du marché.

À Chaudes-Aigues, village où l’eau jaillit naturellement brûlante, le piment d’Espelette semble presque chez lui. Son feu tranquille fait écho à la chaleur de la terre. Ce n’est ni un piment pour braver, ni un condiment pour masquer : c’est un souffle mesuré, une lumière dans la sauce, une caresse épicée qui donne du relief sans jamais dominer.

Sous la main du cuisinier, il accompagne un jus de viande, une sauce au vin, ou vient réveiller un fond de casserole avec la discrétion d’un grand interprète. Quelques pincées suffisent à faire danser les arômes, à réveiller la tendresse d’une pièce d’Aubrac ou à sublimer une simple purée de légumes. Ici, on ne cherche pas à dompter le feu : on l’écoute respirer.

Car le piment d’Espelette AOP, avant d’être un ingrédient, est une philosophie. C’est l’histoire d’un terroir, d’une patience, d’un séchage lent au soleil basque, d’une couleur obtenue sans artifice. Il est né dans les collines d’Espelette, où chaque piment est récolté à la main, suspendu aux façades blanches comme un collier de braises. L’appellation d’origine protégée garantit ce savoir-faire ancestral : pas d’imitation, pas de poudre anonyme. Seulement l’authentique, le vrai, celui qui fait battre le cœur des cuisiniers.

À Gourmet & Glouton, ce piment trouve naturellement sa place dans une cuisine qui célèbre les produits français et leurs histoires. L’Auvergne et le Pays basque se rencontrent dans la même assiette, chacune apportant son accent et son tempérament. C’est une conversation entre montagnes et océan, entre pierre volcanique et air salin. Une rencontre entre deux terroirs qui partagent la même exigence : celle du goût juste et du geste sincère.

Le piment d’Espelette AOP n’est pas une mode. Il traverse les cuisines comme un fil rouge de la gastronomie française. De la charcuterie à la volaille, du poisson aux légumes rôtis, il signe les plats d’un parfum inimitable. Sa particularité ? Un piquant doux, rond, qui ne brûle pas la bouche mais réchauffe l’âme. Il développe des notes de fruits secs, de tomate séchée, parfois un soupçon de foin ou de cacao selon la récolte. À Gourmet & Glouton, on l’emploie comme on choisirait un vin : par respect, par équilibre, par amour du terroir.

Dans les casseroles du restaurant, il dialogue avec la viande d’Aubrac, sélectionnée auprès de fournisseurs de référence pour les restaurateurs du Cantal et d’ailleurs, comme la Maison Conquet et la SARL Méchin. Ces artisans de la viande partagent notre exigence du produit bien travaillé et du goût authentique. Dans cette alchimie entre viande noble et piment d’Espelette, la chaleur devient émotion. Une cuillerée suffit pour comprendre : ici, la flamme n’est pas spectaculaire, elle est intérieure.

Cette alliance du Cantal et du Pays basque pourrait sembler improbable. Elle ne l’est pas. Parce qu’entre ces deux régions, il y a une même fidélité aux gestes simples, aux repas de famille, aux dimanches qui sentent la cuisine lente et généreuse. Le piment d’Espelette, c’est un clin d’œil à la diversité française, à cette mosaïque de saveurs qui font de notre table un lieu de mémoire et de partage.

Et puis, il y a ce symbole : à Chaudes-Aigues, village thermal par excellence, la chaleur jaillit de la terre depuis des siècles. À quelques pas de la Source du Par, l’eau bouillonne à plus de 80 °C. C’est un feu naturel, ancien, bienveillant. Le piment d’Espelette, lui aussi, vient rappeler ce lien entre la nature et la main de l’homme. Tous deux portent une chaleur maîtrisée, une puissance apprivoisée. C’est cette même force que l’on retrouve dans la cuisine de Gourmet & Glouton : une énergie tranquille, celle du feu domestiqué au service du goût.

Dans la salle du restaurant, les plats s’enchaînent : un aligot crémeux rehaussé d’une pointe d’Espelette, une volaille rôtie dont la peau dorée garde le secret de quelques grains rouges, une sauce au vin du sud qui murmure le soleil. Rien n’est criard, tout est à sa place. Ici, on ne cherche pas à impressionner : on cherche à toucher juste.

Le piment d’Espelette, c’est aussi une couleur. Celle qu’on retrouve dans les assiettes comme sur les façades du village d’Espelette : un rouge qui dit la passion, mais sans excès. Dans la cuisine de Gourmet & Glouton, cette teinte se mêle au brun du pain grillé, au doré des pommes de terre sautées, au vert tendre des herbes fraîches. C’est une palette de feu et de terre, fidèle à l’esprit du lieu.

Car la cuisine de Gourmet & Glouton, c’est avant tout un hommage à la France des artisans : celle des mains calleuses, des savoir-faire transmis et des tables où l’on prend le temps. Le piment d’Espelette AOP y trouve sa place naturellement, comme un trait d’union entre régions et générations. Dans chaque plat, il rappelle qu’un simple produit, quand il est sincère, peut transformer un repas en souvenir.

Ainsi, à ChaudesAigues, au cœur du Cantal, dans ce restaurant où la tradition se conjugue à la passion, le piment d’Espelette AOP n’est pas un invité. Il est un compagnon de route. Une étincelle discrète dans une cuisine de feu, où chaque assiette dit la même chose : que la chaleur, la vraie, vient du cœur.


Gourmet & Glouton – Restaurant et salon de thé à Chaudes-Aigues (Cantal)
8 rue Notre-Dame d’Août – 15110 Chaudes-Aigues
www.gourmet-glouton.fr

Les Marmites d’Automne chez Gourmet & Glouton

Quand les feuilles commencent à joncher les ruelles de granit de Chaudes-Aigues et que les premières brumes s’attardent sur la Source du Par, c’est le signal : les marmites reprennent du service. Chez Gourmet & Glouton, le bœuf bourguignon s’installe à la carte comme un vieux compagnon revenu des vendanges. Un plat lentement confit, nourri de patience, de vin rouge et d’un brin de malice auvergnate.

Une recette ancrée dans la tradition

Ici, rien de précipité : les morceaux de viande d’Aubrac sont d’abord saisis pour emprisonner leur jus, avant d’être plongés dans un bain de vin rouge fabriqué par des membres de la famille aux alentours de Perpignan, au Domaine des Terres de Mallyce, à Raziguères. Ce vin du Sud apporte une rondeur fruitée et des notes solaires qui se marient à merveille avec les aromates, les carottes et les oignons fondus. Le tout mijote doucement plusieurs heures, jusqu’à ce que la viande se délite sous la fourchette. Le secret du goût profond ? Le temps. Et la conviction que la simplicité, quand elle est sincère, n’a besoin d’aucun artifice.

Le Cantal dans l’assiette

Le bourguignon de Gourmet & Glouton ne se contente pas de flatter la mémoire collective. Il rend hommage au terroir d’Aubrac, à ces bêtes élevées à l’herbe et découpées maison dans la plus pure tradition bouchère. Servi avec des pommes de terre vapeur, il rappelle qu’en Auvergne, le bonheur se loge souvent dans une cocotte en fonte.

Un plat d’automne, un moment de partage

Autour d’un bon verre de Marcillac “Le Roi Bœuf”, la grande salle du restaurant s’emplit d’arômes. Les conversations s’y mêlent au crépitement discret des plats que l’on vient tout juste de servir. Chez Gourmet & Glouton, l’automne ne se déguste pas à la va-vite : il se vit, cuillère après cuillère, entre amis, en famille ou en amoureux.

Les Marmites d’Automne : un rituel gourmand

Le bourguignon, comme tous ces plats mijotés, sonne comme un dimanche midi chez les grands-parents, en famille, entre rires, nappes à carreaux et odeur de cuisson qui emplit la maison.

Chaque année, cette saison donne lieu à un cycle de plats mijotés qui célèbrent la lenteur et la chaleur : pot-au-feu, daube, bourguignon, blanquette de veau… Des recettes canailles que le restaurant revendique haut et fort. Ces Marmites d’Automne marquent le retour à une cuisine qui prend son temps, servie avec la même générosité que tout au long de l’année.

Où savourer ce plat ?

Chez Gourmet & Glouton, 8 rue Notre-Dame d’Août à Chaudes-Aigues, le bourguignon n’est pas une simple recette : c’est une histoire de fidélité au goût vrai, de respect du produit et d’amour du feu doux. Envie d’un moment réconfortant ? Venez goûter aux saveurs du Cantal dans une atmosphère chaleureuse et intemporelle.

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