Retour sur notre soirée dégustation chez Gourmet & Glouton.

Hier soir, notre restaurant a vibré au rythme d’une soirée placée sous le signe de la convivialité, de la découverte… et du bon goût !

À l’honneur : les vins du Domaine Puech Haut, déclinés en rouges, blancs et rosés, qui ont enchanté les papilles de nos convives. Chaque verre était une véritable escapade au cœur des terroirs du Sud, sublimée par notre cuisine maison, généreuse et pleine de caractère.

L’ambiance, portée par quelques airs de guinguette, a ajouté cette touche festive et chaleureuse qui fait tout le charme des soirées chez nous.

Un immense merci à Nicolas Rozière, ambassadeur passionné du Domaine Puech Haut, et à Johan Gastal pour leur présence, leur bonne humeur et les échanges riches qu’ils ont partagés avec nous.

Et bien sûr, un grand merci à vous tous qui étiez présents pour faire de cette soirée un moment inoubliable. Pour les absents…

pas d’inquiétude : de nouvelles soirées gourmandes se préparent déjà chez Gourmet & Glouton !

Retour sur notre soirée dégustation chez Gourmet & Glouton.

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Une naissance enracinée dans la terre de l’Aubrac

Il y a des projets qui naissent ailleurs… et d’autres qui naissent ici, à Chaudes-Aigues, dans le Cantal. BRACO fait partie de ces aventures profondément locales que nous suivons avec admiration chez Gourmet & Glouton.

Derrière cette marque se cache un enfant du pays, que nous avons vu grandir entre les rues de la ville aux eaux thermales et les paysages puissants de l’Aubrac. De cet enracinement est née BRACO : une marque textile qui incarne l’âme du territoire – authentique, forte, élégante sans ostentation.

L’Aubrac : un territoire de caractère

L’Aubrac n’est pas un simple décor. C’est une force. Une matière. Une école de rigueur et de beauté brute. Plateau volcanique sculpté par le vent, les éléments, et les saisons, il inspire profondément l’univers BRACO.

Dans chaque pièce conçue par la marque, on retrouve :

  • La puissance du volcan : des matières robustes, durables, pensées pour durer.
  • La sobriété auvergnate : des lignes pures, une esthétique maîtrisée, sans surenchère.
  • L’élégance paysanne : un équilibre entre modernité et mémoire, raffinement et utilité.

Ce sont des vêtements à l’image du territoire qui les a inspirés : forts, discrets, sincères.

Gourmet & Glouton : une maison locale qui partage les valeurs de BRACO

À Gourmet & Glouton, nous avons à cœur de défendre ce qui fait sens, ici, chez nous à Chaudes-Aigues. C’est donc tout naturellement que nous avons choisi de revêtir les tabliers BRACO pour notre personnel.

Sobres, fluides, résistants, ils accompagnent nos gestes du quotidien, en salle comme en cuisine. Un choix fonctionnel, bien sûr — mais aussi symbolique.

Car porter BRACO, c’est aussi rappeler d’où nous venons. C’est affirmer une certaine idée du travail, du soin apporté aux choses simples, de l’exigence dans la matière et le détail. C’est une manière discrète, mais sincère, d’exprimer notre soutien à une marque qui, comme nous, célèbre l’Aubrac avec humilité et fierté.

Un projet local au rayonnement grandissant

Aujourd’hui, BRACO continue son chemin. La marque se développe, attire, séduit par son exigence esthétique et son enracinement territorial fort.

Depuis Chaudes-Aigues, elle trace sa route, avec la même rigueur que les troupeaux qui montent à l’estive, et la même patience que ceux qui sculptent le bois ou le cuir. Car BRACO n’est pas là pour courir après les tendances : elle s’inscrit dans le temps long, celui des saisons, des gestes répétés, des engagements durables.

Pour en savoir plus

👉 Découvrez l’univers de BRACO : https://bracostore.fr

Conclusion

Il n’est pas besoin d’en faire trop pour affirmer un soutien. Parfois, un tablier suffit. Chez Gourmet & Glouton, nous avons choisi BRACO non pas parce que c’est une mode — mais parce que c’est une évidence. Parce qu’un enfant du pays a osé, créé, lancé une marque à son image : forte, locale, durable. Et parce que l’Aubrac mérite que l’on fasse corps avec lui jusque dans les détails de notre quotidien.

Une pause familiale le mercredi… et une belle assiette le reste de la semaine !

Chez Gourmet & Glouton, nous aimons autant mijoter des bons petits plats que partager de vrais moments avec ceux qui nous sont chers. Et puisque l’automne apporte avec lui son lot de nouvelles habitudes – les feuilles qui craquent sous les pas, les pulls qui réapparaissent, et les soupes qui fument dans les bols – nous avons décidé d’en instaurer une nouvelle à notre manière : le mercredi, ce sera jour de pause pour nous.

Ne vous inquiétez pas, il ne s’agit pas d’un caprice façon starlette de cinéma ni d’une retraite spirituelle dans un monastère tibétain. Simplement, une journée pour respirer, profiter de nos proches, et revenir encore plus motivés derrière nos fourneaux.

Pourquoi le mercredi ?

Certains diront : « Mais pourquoi le mercredi ? ». Eh bien, la réponse est simple : parce que le mercredi, c’est le jour des enfants ! Et pour nous, c’est l’occasion rêvée de les retrouver autour d’une table, d’un goûter maison ou d’une balade en forêt. En prenant cette pause, nous pouvons savourer à notre tour ces instants précieux en famille, sans tablier ni carnet de commandes.

Et puis, avouons-le : un restaurant qui respire la convivialité se doit aussi de garder un peu de temps pour ses propres petits gourmands à la maison.

Un jour de pause… mais six jours de plaisir

Rassurez-vous : du jeudi au mardi inclus, nous restons aux fourneaux pour vous préparer de quoi réchauffer vos cœurs et vos estomacs. L’automne est une saison qui nous inspire : les champignons cueillis dans les forêts environnantes, les viandes d’Aubrac qui mijotent doucement, les veloutés qui vous enveloppent comme un plaid, et bien sûr les desserts qui rappellent les goûters chez mamie.

Vous nous connaissez : pas de chichi, pas de tralala. Chez nous, on préfère un bon aligot fumant ou une tarte aux myrtilles généreuse à une assiette trop apprêtée qu’on n’ose même pas toucher. Ici, on mange, on savoure, on rit et on partage.

L’esprit de famille, dans l’assiette comme en salle

Prendre notre mercredi, c’est finalement prolonger ce que nous aimons déjà partager avec vous : l’esprit de famille. Quand vous poussez la porte de Gourmet & Glouton, vous n’êtes pas de simples clients. Vous êtes nos invités, ceux avec qui nous échangeons des sourires, des anecdotes, des souvenirs de vacances ou des bons plans de balades dans la région.

Alors oui, il nous fallait un jour rien qu’à nous pour nourrir aussi notre famille à la maison. Mais soyez certains que cette énergie se retrouve dans chaque assiette servie dès le lendemain.

L’automne, saison des retrouvailles gourmandes

L’automne, c’est aussi la saison où l’on aime ralentir, profiter d’un déjeuner qui réchauffe ou d’un dîner qui rassemble. Chez nous, c’est la promesse de plats simples mais généreux, inspirés de la tradition auvergnate :

  • Les champignons, qu’ils soient poêlés, en omelette ou en tourte.
  • Les viandes du terroir, tendres et mijotées.
  • Les desserts de saison : tarte aux pommes, crumbles ou douceurs chocolatées.

De quoi faire de chaque repas une petite fête, même quand le ciel s’assombrit tôt dans l’après-midi.

Une invitation… à revenir encore plus souvent

Alors, pensez-y : le mercredi, laissez-nous filer discrètement profiter d’un moment en famille. Mais du jeudi au mardi, comptez sur nous pour dresser la table, ouvrir nos portes et vous accueillir comme si vous étiez chez vous.

Si vous êtes de passage à ChaudesAigues, ou si vous êtes un habitué qui connaît déjà nos coins préférés de l’Aubrac, sachez que nous serons là pour vous régaler. Et si jamais vous nous cherchez un mercredi… inutile de tambouriner à la porte. Reposez-vous aussi, prenez le temps d’une balade automnale, et revenez le lendemain : les plats n’en seront que meilleurs.

En résumé

  • Mercredi : repos pour l’équipe, moments précieux avec les enfants, et remerciements aux casseroles qui respirent.
  • Du jeudi au mardi : service complet, plats d’automne, desserts maison et accueil chaleureux.

Chez Gourmet & Glouton, nous croyons que la convivialité, ça se cultive aussi dans les moments de pause. Et c’est justement parce que nous prenons soin de nos mercredis que nous pouvons mettre encore plus de cœur dans votre assiette le reste de la semaine.

Alors, à très vite autour d’un velouté de champignons, d’un aligot maison, ou d’un dessert réconfortant qui sent bon la saison. Après tout, l’automne est fait pour ça : savourer, partager et se retrouver.


📍 Gourmet & Glouton – Restaurant, glacier, salon de thé
8 rue Notre-Dame d’Août – 15110 ChaudesAigues
📞 04.71.20.20.00
🌐 www.gourmet-glouton.fr

On pourrait croire que la cuisine et le tatouage appartiennent à deux mondes éloignés. Et pourtant, lorsqu’on remonte l’histoire des plats canailles et celle du tatouage en France, on s’aperçoit qu’ils partagent une même trajectoire : tous deux sont nés dans les classes populaires, ont longtemps été méprisés par les élites, avant de trouver aujourd’hui une reconnaissance et un attachement sincère. Chez Gourmet & Glouton, au cœur de ChaudesAigues, cette filiation entre cuisine canaille et mémoire tatouée nous parle particulièrement.

Les plats canailles : une cuisine du peuple

Parler de cuisine canaille, c’est revenir à l’essence même de la gastronomie française. Ces plats ne cherchent pas à impressionner : ils rassasient, réconfortent et rassemblent. Ils se composent souvent de morceaux dits « modestes » – tête de veau, tripes, andouillette, joue de porc, rognons, joues de bœuf – qui demandent un vrai savoir-faire pour se transformer en mets généreux et savoureux.

Ces recettes viennent des campagnes, des auberges et des bistrots. Elles ont nourri pendant des siècles des générations de travailleurs, d’ouvriers, d’artisans, de bougnats montés à Paris ou de paysans restés sur leurs terres. Loin des dorures et des nappes amidonnées, les plats canailles racontent la vérité d’un terroir et l’ingéniosité d’une cuisine qui sait magnifier les produits les plus simples.

Aujourd’hui, on les redécouvre avec gourmandise. Dans une époque saturée d’images et de sophistication, leur authenticité séduit à nouveau. Car derrière chaque plat canaille, il y a une histoire de transmission, une mémoire familiale et collective qui ressurgit à chaque bouchée.

Le tatouage : l’encre des classes populaires

De son côté, le tatouage a suivi une route parallèle. Importé par les marins au contact de civilisations lointaines, adopté ensuite par les bagnards et les soldats, il a longtemps été l’apanage des marges. Comme les plats canailles, il a été regardé avec mépris par les élites, qui y voyaient un signe d’infamie, d’appartenance à un milieu jugé vulgaire ou dangereux.

Et pourtant, pour ceux qui portaient ces marques, le tatouage était bien plus qu’un simple dessin. Il était une mémoire inscrite dans la peau : souvenir d’un amour perdu, trace d’un voyage, revendication d’une identité, cri de liberté. Exactement comme un plat canaille peut raconter la rudesse d’une vie ouvrière ou la convivialité d’une table familiale, le tatouage raconte une histoire de chair et de vécu.

Au XIXᵉ siècle, les criminologues cataloguaient les tatouages comme s’ils étaient des stigmates sociaux, mais ils oubliaient qu’ils étaient surtout des morceaux de vie. De la même façon, les élites gastronomiques méprisaient la tête de veau ou les rognons, ignorant qu’ils représentaient pour d’autres un réconfort, une chaleur, une part de leur identité collective.

Les Apaches de Paris : l’esprit canaille incarné

À la Belle Époque, une figure cristallise ce lien entre tatouage, plats canailles et culture populaire : les Apaches de Paris. Ces jeunes voyous des faubourgs parisiens arboraient fièrement leurs tatouages, hérités des marins, des soldats ou des bagnards, comme signes d’appartenance et de défi à l’ordre établi. Ils parlaient un argot haut en couleur, vivaient dans les quartiers ouvriers et se retrouvaient dans les bouillons et les bistrots où l’on servait des plats canailles – tête de veau, rognons, abats mijotés.

Tout, chez eux, transpirait l’esprit canaille : une défiance face aux élites, une affirmation de soi à travers le tatouage, une convivialité brute autour de la table. Le terme même de « canaille », qui qualifie aujourd’hui ces plats populaires, faisait alors référence à ce peuple rugueux et libre, ces bandes qui inspiraient autant la peur que la fascination. Les Apaches sont devenus, malgré eux, une icône de ce Paris populaire, rebelle et insolent – un Paris où la cuisine et l’encre racontaient la même histoire : celle des marges, de la rue et du peuple.

Une reconnaissance tardive mais sincère

Avec le temps, l’un comme l’autre ont conquis leur place. Aujourd’hui, les joues de bœuf mijotées ou les rognonstrouvent leur place à la carte de restaurants étoilés et des plus grands chefs, qui revendiquent une cuisine de tradition et de goût. Ils ne sont plus perçus comme de simples nourritures de nécessité, mais comme des plats emblématiques de la générosité française.

De la même manière, le tatouage est sorti des marges pour devenir un artisanat respecté. Il ne se limite plus aux marins ou aux marginaux : il touche toutes les générations et tous les milieux sociaux. Le geste du tatoueur, comme celui du cuisinier, demande une précision absolue, une maîtrise patiente et un profond respect du support – qu’il s’agisse de la peau ou du produit. Dans les deux cas, il s’agit de savoir-faire, de technique et de passion transmise.

Une mémoire rebelle et prolétaire

Ce qui rapproche encore plus la cuisine canaille et le tatouage, c’est leur dimension de mémoire collective. Ces deux pratiques ont longtemps été méprisées par les élites, reléguées dans les marges sociales, qualifiées de grossières ou indignes. Et pourtant, elles étaient vivantes, vibrantes, populaires. Elles appartenaient aux ouvriers, aux marins, aux voyageurs, aux rebelles : à ceux qui, loin des projecteurs, gravaient leur histoire dans leur chair ou la racontaient autour d’un plat partagé.

Manger une joue de bœuf longuement mijotée ou se faire tatouer un souvenir de vie, c’est renouer avec cet héritage prolétaire, avec cette mémoire rebelle et populaire. C’est affirmer un choix, parfois à contre-courant, mais toujours sincère.

Gourmet & Glouton : l’esprit canaille et le goût du partage

C’est exactement ce que nous aimons et recherchons chez Gourmet & Glouton, à ChaudesAigues : ni or, ni étoile, juste le plaisir de partager un bon plat, un bon vin, bref une tranche de vie entre amis ou en famille. Ici, la cuisine canaille n’est pas un concept marketing, c’est une philosophie : celle de l’authenticité, du vrai, de la simplicité.

Et le tatouage, dans un autre registre, apporte ce même partage. Il scelle un moment, crée un lien, laisse une trace indélébile du vécu. Il est à la peau ce que les plats canailles sont à la mémoire : un marqueur, un témoin, un héritage.

Ni la cuisine canaille ni le tatouage ne cherchent à plaire à tout le monde. Ils parlent à ceux qui savent goûter la profondeur de leur histoire.

📍 Gourmet & Glouton – 8 rue Notre-Dame d’Août, 15110 ChaudesAigues
📞 04.71.20.20.00
🌐 www.gourmet-glouton.fr

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